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23, 24, 25 et 26 mai
Usine C ­ petite salle
Français : 1h30 approx.
Coproduction : Festival de théâtre des Amériques

Théâtre supersonique
Ensorcelée par son actrice, Marie Brassard est littéralement envahie dans son quotidien. Pendant qu’elle parle à un ami cher qui vit à New York, la voilà sur la scène d’un accident. Une rue de banlieue, un livre d’école, des pages qui volent au vent, une petite fille qui s’envole, un grand frère skinhead qui danse avec le fantôme de sa petite soeur. L’actrice s’emballe. Le skinhead débarque dans l’appartement de Marie Brassard, la distribue dans le rôle de la mère, celle qui peut mettre des mots et des images sur sa peine noire. En scène, avec un comédien danseur, Marie Brassard mixe les voix, les pistes sonores et lumineuses, entremêle les niveaux de réalité. En supersonique, nous voilà projetés dans un théâtre qui rêve d’une ode à l’amitié pour un ami au bout du fil.

TEXTE ET MISE EN SCÈNE
  Marie Brassard
ASSISTANCE À LA MISE EN SCÈNE
  Sarah Rogers
DÉCOR ET ACCESSOIRES
  Simon Guilbault
CONCEPTION SONORE ET MUSIQUE ORIGINALE
  Alexander MacSween
CONCEPTION DES ÉCLAIRAGES
  Éric Fauque
IMAGES
  Cécile Babiole
DIRECTION TECHNIQUE
  Richard Desrochers
RÉGIE
  Christian Gagnon
   
DISTRIBUTION
  Marie Brassard
Guy Trifiro
Alexander MacSween

Marie Brassard et Infrarouge Théâtre
Depuis ses débuts, Marie Brassard s'est presque exclusivement consacrée à la création théâtrale, même si on l’a vue au cinéma et à la télévision. Avec Robert Lepage, son fidèle allié, elle a participé à la création de plusieurs spectacles initiés par le metteur en scène, dont la Trilogie des dragons, le Polygraphe, les Sept Branches de la rivière Ota et la Géométrie des miracles. La prodigalité de son énergie créatrice l’a amenée à travailler avec Dominic Champagne, Alexis Martin,... En fondant il y a deux ans sa propre compagnie, INFRAROUGE THÉÂTRE, elle s’est donné un formidable outil de création : un premier spectacle solo, Jimmy,créature de rêve, véritable spectacle coup de coeur traduit en anglais et produit en version allemande, fait depuis deux ans le tour du monde.

 

Illustration " La Noirceur " : Warren Auld
Photo " La Noirceur " : Infrarouge Théâtre